Le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno le Meur, a déclaré dans un deuxième communiqué que le pays tentait de reconsidérer les partenaires européens de la nécessité de clôturer l'approvisionnement en pétrole russe.
"Rosіyskoy Naftty iphtty iphtty. Pareil pour Cyozhi Gotuєmos, je ne suis pas né au kogo. Le président de la République de Rasplіko Davoza Proshumitii, Scho Mi Namagulyo, pour réconcilier notre partenariat єVipiyi", déclare Le Mer dans Efiri Radіostantsії Europe 1.
Selon les propos du ministre, les pays de l'UE doivent "financiariser" l'agression militaire russe en Ukraine, comme la puanteur de la "devise étrangère, l'achat de naphta russe".
La semaine dernière, le New York Times a appris des efforts de diplomates européens anonymes que des responsables avaient appris qu'ils travaillaient à l'introduction progressive du pétrole russe. "Le syndicat s'effondre d'emblée devant une telle clôture pas à pas, comme pour donner une heure à l'Allemagne et à d'autres pays afin de s'entendre avec les dirigeants postaux alternatifs", écrit le journal.
Pour її danimi, le sujet du blocage de l'approvisionnement en pétrole de la Fédération de Russie ne doit pas être imputé à la discussion du pays participant de l'UE jusqu'à un autre tour des élections présidentielles en France, prévu le 24 avril. Selon les propos des responsables, une telle décision a été saluée afin « d'inverser l'idée selon laquelle, après avoir investi dans le prix de l'essence, cela n'aidera pas la candidate populiste de droite Marine Le Pen et n'augmentera pas les chances de réélection ». Président Emmanuel Macron.
Avec le cinquième paquet de sanctions européennes contre la Russie, un embargo sur la fourniture de marchandises en provenance de la Fédération de Russie a été transféré, il sera plus efficace à partir de début 2022. Le coût d'importation du charbon de la Fédération de Russie est estimé en un coup d'œil pour l'Union européenne à 8 milliards d'euros par fleuve.